Pas d'édition au printemps 2016, rendez vous en octobre pour une sortie nocture "Lambele"

mardi 16 avril 2013

Les Dunistes dans les Vosges du (grand ?) Nord


Dunes d’espoir – Course du Soultzerkopf – Dim. 8 avril 2013



Une belle journée se profilerait-elle, après un hiver tenace ? C’est bien ce qui se dit dans les médias, et c’est en tout cas ce que veulent, exigent même !, les dunistes pour cette première sortie de l’année dans les contrées les plus septentrionales de l’Alsace.

Un frais soleil nous rassemble à 9h à Lampertsloch, village perché aux abords de la forêt à arpenter aujourd’hui. Sonia, Stéphanie, Nicolas, Fabien, Alain, Alexandre, Samuel, Pascal et le p’tit nouveau Sullivan, ont répondu à  l’appel de Cédric, le gentil organisateur du groupe des dunistes du jour. Nous aurons la responsabilité, et c’en est une, d’emmener la petite Eva, Picandou et Doudou bleu dans la joëlette. Attention ! C’est parti sous l’arche de départ, comme les coureurs, l’hymne de Dunes en plus ! Le tout, par une montée que nous empruntons gentiment, sinon….pas de chansons ! Il ne faudrait pas que notre souffle soit coupé dès les premiers mètres : on s’est quand même lancé sur 23 km, avec quelque dénivelé…


 La montée laisse sa place à un chemin relativement plat, large à souhait, qui permet à la troupe de prendre les choses en main comme il faut : on fait connaissance avec notre passagère et entre nous chacun trouve sa place. Les muscles sont à peu près chauds, nous pouvons donc aborder la deuxième montée, toujours en chemin large, relativement longue et qui nous mène à un palier. Un premier membre de l’association (organisatrice) des Coureurs de la Saline nous indique la bonne destination : il ne faudrait pas se tromper et prendre le 13 km, on n’est pas que des chochottes … Et Papy, puisque c’est comme ça qu’on le surnomme, surréalistement vu ses guiboles, est notre premier supporter sur la course. Forcément, puisque nous sommes partis 17 minutes avant le départ officiel.

Donc, nous prenons à gauche au carrefour, et c’est une descente qui nous permet de souffler et de pratiquer la base du fonctionnement de Dunes d’espoir : le relais. On modifie donc les équipes, en  vérifiant bien que Picandou et Doudou bleu (gris ?) soient bien toujours présents dans les mains d’Eva. Descente de courte durée, puisque nous quittons le chemin pour virer à droite, dans une … montée. Pas étonnant, car nous nous trouvons dans le secteur du Liebfrauenberg (la montagne des femmes amoureuses, allez savoir), en tout cas sur des hauteurs… qui nous font redescendre via un chemin un peu plus étroit et encombré par endroits. Bûcherons en pleine activité qui laissent des traces. Le tracé est bien indiqué lorsque les troncs sont insurmontables et pour le reste, la joëlette et tous ses passagers prennent de la hauteur dans les mains des dunistes…qui en verront bien d’autres plus tard…

Nous voulions descendre ? Et bien nous allons descendre, et ce jusqu’à l’entrée de Lembach, joli village au creux de la Vallée de la Sauer. Le chemin qui nous y emmène, plat et légèrement descendant, nous fait profiter de la visite des trois premiers coureurs du 23 km. Bravo ! Certains dunistes se laisseront tenter par un sprint, histoire de se mesurer aux héros… (au fait, qui sont les véritables héros aujourd’hui ?). Nicolas rassemble gentiment le groupe autour d’Eva. 


Notre passagère a soif et perd Picandou qui est de suite secouru, ouf ! Nous apercevons le ravitaillement.  Un verre d’eau, carreaux de chocolat et tranches de pain d’épices : on prend des forces avec que cela ne se corse. Re-départ, mais de courte durée, puisque nous attendent au détour du chemin montant, les parents d’Eva, acclamant leur petite fille ! Elle aura bien des aventures à leur raconter, je veux dire, à ses doudous, ce soir, au coucher… Un p’tit bisou et on se revoit au déjeuner, ok ? Et nous accueillons Alexis flanqué de sa famille pour lui souhaiter bon voyage.

Alexis prend place dans la joëlette au moment où celle-ci entre dans la phase critique du parcours : une gentille montée de 4 km. Il débutera donc son périple dans un rythme tout doux, sur un chemin large et caillouteux, rectiligne comme on aime … pas trop. Plus aucune mélodie dans l’air, on souffle, groupés autour de notre hôte et soulagés d’entendre notre coach Nicolas annoncer : « on marche gentiment pendant 1 minute ! ». Et Fabien de répondre pour les 9 autres « 1 minute réelle ou 1 minute ressentie ? ». La réponse était sous-entendue : pas moyen de corrompre notre Nicolas. 

Comme elle a fait du bien, cette minute de récup !!! On reprend la course à pied, notre sport favori à tous, jusqu’au bout de cette ligne de chemin interminable, puis nous nous engageons à gauche dans le « single track », assez large pour laisser passer une joëlette. Alain, rapide comme un sanglier jaune, fait des allers-retours à l’avant du groupe pour prendre des clichés de la joyeuse équipée. On pousse, on tire, on fait la chenille les mains sur les hanches, on soulève : Alexis verra des troncs, des branches, des bûches et tout objet boisé de très près. « ça va, Alexis ? » : un petit « oui », et un grand sourire.
Secoué, il le sera. Cuisiné aussi. A cause de son collier. Pas n’importe lequel : une gourde d’aspect Saint-Bernard pour secourir les personnes en détresse. Il y en avait, des dunistes qui auraient aimé connaître voire gouter ce breuvage dont seule la couleur sera divulguée : verte. Des herbes, selon Alexandre, expérimenté en herboristerie ? Suspense…
En tout cas, Alexis n’aura pas l’occasion de beaucoup boire car nous nous approchons du sommet. Les dunistes latéraux ont depuis longtemps désertés vers l’avant ou l’arrière, l’étroitesse du sentier les y obligeant. Si bien que les coureurs s’écartent parfois poliment du tracé pour nous dépasser. Le sentier arrive sur un chemin large que nous empruntons avant de re-bifurquer sur un single-track et de rapatrier une brebis égarée ayant préféré choisir la pente ascendante … que nenni ! Y’a encore un peu de montée, mon gars ! Et merci à Fabien qui lance encore un « Et ouvre l’œil, ok ?! » au coureur étourdi.
Nous arrivons sur les hauts, empruntons des chemins plats et des descentes, qui nous permettent de reprendre des forces. Encore une longue montée sur large chemin, mais dont on voit la pseudo-fin, c’est-à-dire qu’après la « descente-qu’on-prend-en-sens-inverse », il y un faux plat qui dure un peu… mais qui descendra, si-si !

Le soleil perce à travers les arbres, cet astre dont on languit depuis si longtemps. A vrai dire non, il a fait son apparition il y a quelques jours, mais là, il est accompagné d’une douceur qui fait rosir nos joues : presque le coup de soleil, quoi ! Que du bonheur.
Et puis, le spectacle (une petite frayeur quand même) d’une Sullivade : comprenez roulade « à la Sullivan ». Il voulait se faire remarquer, le nouveau ? Réussi ! Cédric, à l’avant de la joëlette, esquive le danger en vrai pro, ouf !
Les seuls mètres (deux !) de bitume à fouler sont ceux de la mini-route qui mène au Soulterkopf ; nous les franchissons en entonnant de plus belle notre chanson fétiche jusqu’au ravitaillement et notre fan-club que nous apercevons : Maman, Papa, soeurette et ami d’Alexis, aux visages radieux !
Quelques photos, un morceau de chocolat et la recette officielle de l’objet de toutes les curiosités voire convoitise, la potion magique d’Alexis : de la menthe à l’eau…quelle déception ! Encore 4 bons km de parcours d’après Michel, le cap’tain du stand et coach de Stéphanie qui prend des nouvelles de sa protégée. Il ne propose pas de Picon, à son grand regret … et celui des dunistes masculins !


Descentes au programme, et attention au carrefour dangereux : les secours et le plus breton des Coureurs de la Saline, Mickaël, nous rendent attentifs, merci ! Nous sentons la fin de notre aventure proche, en passant près du Marienbronn, où sont entonnés des chants païens. Nicolas nous propose de se rassembler gentiment tous autour d’Alexis ; les poignées avant de la joëlette sont maintenues par deux coureurs, histoire de dégager la vue de notre passager : ça y est, nous sommes prêts pour la descente finale vers l’arche d’arrivée. La musique duniste retentit au détour du chemin, jusqu’à la ligne, haute en décibels et sous les applaudissements !

Quelle belle journée avec Eva et Alexis ! Tout y était : des sourires radieux, quelques blagues douteuses, de la joie exprimée, de la transpiration à évacuer, du jaune, du jaune…. dans les chaleureuses Vosges du Nord. A la prochaine, et gentiment, ok ?!





mercredi 10 avril 2013

The winner ! ( photo DNA)


Sur les hauteurs de Lampertsloch, sous un magnifique soleil et une température idéale pour courir, Mathieu Motsch originaire, du proche Wissembourg, n’a laissé à personne le soin d’imprimer le tempo et s’est imposé sur les 23 km en pleine nature en 1h32’45’’. Le professeur d’EPS a mené de bout en bout, avec dans son sillage Freddy Lapp, qui lui a dit d’y aller seul. Le Colmarien Thierry Aubert, pourtant considéré comme favori, a complété le podium.
Avec 80 classés sur le 23 km et 161 sur le 13 km, remporté par Marc Jaming (RTS) en 48’28’’, les organisateurs (Les coureurs de la Saline de Soultz-sous-Forêts) avaient le sourire.

Les résultats

23 km : 1. M. Motsch (TEM) 1h32’45’’; 2. F. Lapp (RTS) 1h35’51’’; 3. T. Aubert (TT Colmar MC) 1h38’44’’; 4. D. Dahlem (Cans) 1h43’2’’; 5. A. Kauffmann (Haguenau) 1h43’30’’… ; 1refém. : 33. I. Moosbrugger (ANA) 2h05’34’’…
13 km : 1. M. Jaming (RTS) 48’28’’; 2. J. Gosset (RTS) 49’39’’; 3. O. Oesterle (RTS) 49’54’’; 4. U. Luttel (Karlsruhe) 50’28’’; 5. E. Steffen (TES) 50’31’’… ; 1re fém. : 46. M. Ehrismann (ANA) 1h2’30’’…
                                                  (Article de L'Alsace du 08 avril 2013)

L'association des coureurs de la Saline a proposé ce dimanche la deuxième édition des courses nature du Soultzerkopf dans la belle forêt des Vosges du nord. Deux parcours étaient proposés sous un soleil radieux qui tente petit à petit de prendre le dessus sur un hiver qui n'en finit pas.
RT Schweighouse, le triplé.
Sur le tracé court de 13 km, le Running Team de Schweighouse réalise un triplé avec le vainqueur Marc Jaming, José Gosset deuxième et Olivier Oesterlé troisième. Marc Jaming n'a laissé aucune chance à la concurence et s'impose en solitaire : "J'ai fait une course de préparation pour les 10 km de Lucerne qui se déroulent dans deux semaines, une bonne séance d'endurance un peu plus poussée. Mon objectif en Suisse sera de battre mon record de l'épreuve qui est de 31'42". Au vu de sa forme actuelle, l'objectif est tout à fait réalisable. Il sera accompagné de son coéquipier José Gosset, qui a préféré réaliser un entraînement plus intensif samedi.
Chez les féminines, c'est la wissembourgeoise Marianne Ehrismann qui s'impose devant Alexandra Renaud et Carole Gomez.
Sur le parcours des 23km, on attendait Mathieu Motsch, vainqueur l'an dernier en compagnie de Fabrice Westenhoeffer. Un Fabrice Westenhoeffer qui a dû déclarer forfait suite à une blessure contractée à Strasbourg.
Au dessus du lot, c'est donc le spécialiste des efforts longs qui a dominé les débats sans partage avec plus de trois minutes d'avance sur l'inusable Freddy Lapp qui ne pouvait que constater les dégâts :         " C'est impossible de suivre Mathieu dans les montées, je me serai grillé, j'ai préféré assurer ." A 47 ans, il se contentera d'une belle deuxième place. Pour Mathieu Motsch, cette course ne constitue qu'une étape dans sa progression vers les prochaines échéances qui s'annoncent de plus en plus difficiles. Il sera notamment mi-mai au "trail des Allobrogues" en Haute Savoie, une course de 58 km. Sa sympathie et sa décontraction font toujours plaisir à voir.
"J'aime beaucoup ce parcours ici au Soultzerkopf avec ses belles montées et descentes. J'ai débuté la course sur les chapeaux de roue en compagnie de Freddy Lapp et des concurrents du 13 km. C'était tout à fait volontaire, je voulais faire cette course sur un rythme élevé."
Chez les féminines, la Lauterbourgeoise Isabelle Moorsbrugger s'impose.
                                                                                                 (DEN K / DNA du 08 avril 2013)




lundi 1 avril 2013

Course Nature du Soultzerkopf

Après le vif succès de 2012, Cathie Liegeois, présidente de l’association des coureurs de la Saline de Soultz-sous-Forêts, a décidé de remettre cela : elle réorganise avec son équipe d’une soixantaine de membres, la course nature du Soultzerkopf.
Deux parcours 100% sentier nature de 13km et 23KM s'offrent aux coureurs. Les amateurs de trail vont adorer ces parcours sur les flancs des Vosges du nord.
Rendez-vous pour cet événement dimanche 7 avril à 9H30, au stade de football de Lampertsloch.
Renseignements au 06 51 14 03 38 ou au 06 33 72 98 88.
Par ailleurs, les personnes intéressées peuvent retrouver cette équipe d'amateurs passionnés de course à pied pour les entraînements hebdomadaires les mercredis à 18h30 au Bruehl à Soultz Sous Forêts ou les dimanches à 9h15 au col du Pfaffenschlick, comme sur Facebook ou sur le blog des coureurs de le Saline.
DNA du 30 mars 2013.

mercredi 27 mars 2013

L'interview décalée

Afin de mieux connaitre les membres de la Saline, voici une interview un peu décalée...
Qui sera le ou la premier(e) à se jeter à l'eau ? qui sera le ou la suivant(e)? 


Petite présentation de toi en quelques mots...



P: Qu'est ce qui te fait courir ?
F: Réponse un peu égoïste : je cours principalement pour moi, pour entretenir mon corps qui se fait un peu vieux

P: Pourquoi cours tu ?
F: Comme je suis très souvent en queue de peloton, je cours principalement après mes collègues coureuses et coureurs, très rarement après un score et jamais après le temps.

P: Que représente l'association de la saline pour toi ?
F: Un moment de détente, de convivialité, de bonne humeur. Un anti –dépresseur qui ne coute qu’un peu de lessive à mon épouse.

 P: Quel autre sport que tu aurais aimé pratiquer ?
F: Le football que j’ai pratiqué jusqu’à 45 ans.

P: Ta passion autre que sportive dans la vie ?
F: Mes autres passions commence souvent avec le lettre C : C ……comme Course à pieds (je suis réviseur aux comptes d’un club de courses à pieds), C…… comme Casemate de la ligne Maginot (je suis président-fondateur d’une fédération d’ass de la ligne Maginot, c ……comme Cigogne (je suis trésorier-fondateur d’un club qui s’occupe de cigognes), C ……comme Confrérie ou Cleebourg ( je suis membre-fondateur du Grand Conseil de la Confrérie de Cleebourg) C …..comme Crédit mutuel, mon employeur (médaille du travail 35 ans) et bientôt retraité …..si Dieu  (et F. Hollande) le veuille bien.

P: Ton sportif(ve) préféré(e) ?
F: Je respecte tout sportif « propre »  et beaucoup pourraient figurer sur ma liste : en choisir un m’est trop dur.

P: Si tu pouvais rencontrer le nouveau pape, tu lui dirais quoi ?
F: Je lui dirais : « Sa Sainteté a choisi un beau nom » 

P: Ton chanteur(euse) ou groupe musical préféré(e) ?
F:  Léonard COHEN pour les textes, Nolwenn LEROY pour la voix.

P: Ton odeur préféré ou celle que tu n'aimes pas ?
F: l'odeur du chrono qui défile quand il dépasse les 4h à mes marathons.

P: Le métier que tu ne ferais jamais ?
F: : Cuisinier ! je suis trop nul et  il ne faudrait jamais décevoir les gens qui viennent passer un agréable moment au restau.

P: La personnalité que tu aimes bien avec qui tu irais manger au restaurant volontiers ?
F: Julia ROBETS dans une ferme – auberge, Nelson MANDELA à l’Auberge de l’ILL, un ou une inconnu pour un plat du jour : on peut intervertir les personnages et les lieux car …..CARPE DIEM !

P: Dans quelle ville aimerais tu vivre ?
F: Oberroedern, New York : mon cœur balance

P: Quel est le dernier livre que tu as lu ?
F: Lettres de Malgré-Nous » sorti en décembre et qui m’a beaucoup touché.

P: Il ya-t-il un rêve récurrent que tu fais et que tu as envie qui se réalise ?
F: Pas de rêves récurrents mais  un mélange de cauchemars et de fantasmes ….qui me font lever des fois à des heures impossibles.

P: Dieu a créé la femme et toi t'aurais créé quoi ? 
F:…un homme qui la comprenne.

P: maintenant que l'interview touche à sa fin, tu as l’honneur de choisir le ou la prochain(e) interviewé(e) ! et de plus c’est à toi maintenant de poser la première question !

F: L’honneur qui m’a été fait  me dicte de choisir……. la présidente.  Ma première question pour Cathy : «  et toi Cathy, que ferais-tu si tu devais mourir demain? »
Belle question pour quelqu’un qui est connu pour son humour, gell ?

Cordialement

François  

Un grand merci à François d'avoir accepté de jouer le jeu et d'être le premier a se dévoiler, à toi de jouer Cathy  !

jeudi 21 mars 2013

Résumé de l'Ecotrail à Paris avec Marie-Reine Mars 2013

Arrivant vers 11H00 à l'aire de départ sur la base de loisirs de St-Quentin en Yvelines, il nous restait une bonne heure pour donner en consigne notre sac et prendre une boisson chaude sous le chapiteau mis à disposition pour les coureurs, car l'air matinal était fraîche et humide.

Avant le départ à midi, nous avions droit à quelques notes musicales données par les sonneurs du corps de chasse.
Partant sur un rythme prudent, les premiers 22 Km étaient assez roulant jusqu'au 1er ravito à BUC, atteint en 2H20'.
Reprenant quelques forces, c'était reparti pour 23 Km jusqu'à l'observatoire de Meudon, terme du 2ème ravito, avec pour menu un dénivelé plus élevé sur un parcours technique et des chemins boueux sur de grandes sections.
Malheureusement au 24ème Km, j'ai eu une grosse défaillance ( jambes lourdes, souffle court...) tellement que j'ai dû laissé partir avec regret Marie-Reine, lui disant d'aller à son rythme jusqu'au prochain ravitaillement...Elle m'a d'abord attendu me disant que ça allait revenir pour moi, mais j'insistais pour qu'elle fasse sa course et qu'on verra au prochain ravito. J'étais déçu de ce qui m'arrivait ce jour là, mais heureusement grâce à mon fort mental j'ai repris doucement des forces en m'alimentant régulièrement. A 3 Km du point de ravitaillement, j'appelais Marie-Reine avec mon portable pour lui demander ou elle en était.Elle me répondit qu'elle devait être à 1,5 Km du ravito et qu'elle allait faire une pause pour m'attendre.
Arrivant 7 minutes plus tard, et quelques 20Km courus chacun séparément , nous décidions de repartir ensemble car physiquement cela allait un peu mieux pour moi. La pluie commençait à faire son apparition et l'air se rafraîchissait , mais malgré ces conditions climatiques difficiles nous progressions de nouveau à une bonne allure avec des chaussures mouillées et pleines de boues.

Au 3ème ravito à CHAVILLE parc Marie Adam une bonne soupe chaude nous attendait pour nous réchauffer. La nuit commençait à tomber, il fallait donc se munir de nos lampes frontales car il restait encore 25 Km avec un dernier ravito au domaine de St-Cloud pour plonger ensuite sur PARIS vers la tour Eiffel qu'on apercevait d'ici.

La fatigue commençait à se faire sentir mais dans nos têtes on ne pensait qu'à l'arrivée.L'organisation nous réservait une petite surprise avec une arrivée sur le quai Branly ou une petite tour Eiffel lumineuse était construite avec des ballons juste en face de la vraie tour.

Cette course fut très spéciale pour Marie-Reine et moi-même, car ensemble nous avions dédié avant le départ cette épreuve sportive à nos mères décédées en ce début d'année.

Je remercie de tout coeur , Marie-Reine, de m'avoir soutenu dans ce passage à vide ( et oui ça peu arriver à tout le monde) et la félicite très chaleureusement pour sa grande performance lors de cet Ecotrail, vraiment spécial.


 

mercredi 20 mars 2013

Un Trail à Paris, c'est possible ! avec Daniel et Marie Reine...

Présentation :

De Saint Quentin-en-Yvelines à  la Tour Eiffel
Base de loisirs de Saint Quentin-en-Yvelines, Domaine de St Philippe, Observatoire de Meudon, Domaine national de Saint Cloud, Forêts Domaniales de Versailles, Chaville, Meudon, L'ile Saint Germain, la Tour Eiffel...











...autant de lieux exceptionnels découvert dans le cadre de cette expérience unique d'un véritable Trail en milieu urbain empruntant à plus de 90% des sentiers preuve s'il en est qu'un urbanisme raisonné exploite parfaitement son environnement naturel !



Le développement durable au coeur de l'événement

De notre côté, nous avons pris l'engagement auprès de l'office national des forêts de les aider à réhabiliter le site de leur choix en prélevant 7500 euros sur les droits d'inscriptions de la course.
                                          Les trailers de Paris ( extrait du site http://www.traildeparis.com )




 


Le parcours :
Distance : 80 km
% de chemins et sentiers : 92%    
Dénivelé : 1500 D+















Et le chrono me direz vous ? moins de 10h23 ! 




Un grand bravo à nos 2 champions !!







lundi 18 mars 2013





Marcher ou courir pour une bonne cause


Le rendez-vous annuel sportif, convivial et solidaire de Schoenenbourg fait partie des traditions solidement implantées dans l’Outre-Forêt. Cet engagement sans cesse renouvelé a à nouveau bénéficié hier matin d’une égale énergie à la fois du côté des organisateurs que des participants.   DNA 18 mars 2013

mardi 12 mars 2013

Course nature 2013

Envie de découvrir ou redécouvrir le 23 km du parcours de la course nature?  Rendez vous dimanche 24 mars à 8h30 au stade de football de Lampertschloch.



vendredi 8 mars 2013

Les 10 et 17 mars

Pour les coureurs de la saline :

Rendez vous dimanche le 10/03/2013 à 9h00 à Merkwiller






 ( chez Mathieu) pour un 14,5 km avec apéro à la clef, et pour les plus ambitieux, pour un 18 km avec toujours un apéro à la clef !!!!












23ème Journée en faveur de personnes handicapées, que l'ADCAN organisera le dimanche 17 mars à Schoenenbourg
Pour tous les coureurs de l'assoc ainsi que tous les autres aussi
rendez vous à 08H30 pour un 20km et à 9h15 pour un 10km dans la bonne humeur pour une bonne cause.